Ci-dessous, l'article à paraître dans "Reflets" du mois de mai :
Les socialistes sont contre les cantines scolaires gratuites. Avec un barême de 15 tranches de tarifs, suivant le quotient familial, la gauche majoritaire de Bondy fait fonctionner une usine à gaz de gestion des cantines.
"Système très complexe" a reconnu le maire lors du dernier conseil municipal.
Au delà de la complexité, Gilbert Roger aurait pu rajouter l'inégalité d'un système qui veut différencier "les enfants de riches et les enfants de pauvres".
A notre avis, s'il existe bien un domaine où l'égalité doit prévaloir, c'est bien celui de la nourriture donnée aux enfants dans le cadre d'une journée scolaire. Nous estimons qu'avec la modernité et le travail qui occupe souvent les deux parents ou le seul parent dans les familles monoparentales, les enfants doivent bénéficier d'un repas chaud et équilibré par jour à l'école. Ce doit être le seul objectif.
Lors de ce même dernier conseil, l'UMP a voté contre l'augmentation des différents tarifs des services communaux (cantines, centres de loisirs, centre médical, self de la mairie, location des salles municipales, etc...)
Là encore, nous estimons que les impôts locaux sont trop lourds à Bondy et qu'ils mériteraient de baisser de façon significative. Ils pourraient baisser effectivement dans le même rapport que les augmentations demandées. Les deux devraient aller de pair.
Les dettes accumulées depuis des décennies par les socialistes ne favorisent pas le pouvoir d'achat des Bondynois...bien au contraire.